Derrière la vapeur immense montant du sol, ils devinèrent les casques luisants des cavaliers alignés devant eux.
Eux, ils étaient nuée infinie. Assis, presque nus, calmes. A peine un murmure d’hommes.
- Mahatma, fit une jeune voix à sa droite, Mahatma, je n’ai plus peur. Il se tourna pour lui sourire : -
Demain, nous pourrons enfin recueillir le sel.
Dans un fracas métallique, les chevaux fumants avancèrent dans leur direction.
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